Information aux visiteurs
Qu'est-ce que c'est Archives.Africamuseum.be?
Archives.Africamuseum.be est une base de données d'archives qui donne accès en ligne aux collections d'archives du Musée royal de l'Afrique centrale.
Archives.Africamuseum.be est géré par le service d’ Archives et Gestion des collections du Département d'Anthropologie culturelle et Histoire. Ce service est responsable de l'acquisition, de la conservation, de la valorisation et de la numérisation des archives historiques et institutionnelles, des objets ethnographiques, ethnomusicologiques et historiques et des photographies.
Quelles archives peut-on trouver dans Archives.Africamuseum.be?
Dès sa création en 1898, le musée a conservé des archives de particuliers, d’entreprises et d’institutions ayant un lien avec l’État indépendant du Congo ou le Congo belge. Les activités du musée en tant qu’institution scientifique ont également mené à la production d’archives importantes et variées.
Archives.Africamuseum.be regroupe les services d'archives suivants :
- Archives des particuliers - Histoire coloniale
- Archives des particuliers - Décolonisation et Congo indépendant
- Archives historiques du Musée royal de l'Afrique centrale
- Archives d’ entreprises et institutions
- Archives Henri Morton Stanley
Les archives suivantes du MRAC ne sont pas incluses dans Archives.Africamuseum.be :
- Archives archéologiques
- Les archives des études géologiques et de la prospection minière en Afrique centrale
- Les collections d'archives gérées par les départements et les services eux-mêmes dans le cadre de leur opération quotidienne et de leurs projets de recherche.
Que dois-je faire pour consulter les archives ?
Tout le monde est libre de consulter les archives. La seule obligation est de prendre rendez-vous.
Afin de traiter votre demande de consultation le plus rapidement possible, il est préférable de tenir compte des préparatifs suivants.
- Déterminez le sujet et lisez la littérature
- Faites une sélection à l'avance
- Localiser le fonds d'archives
- Fixer un rendez-vous
Des connaissances préalables sur le sujet que vous souhaitez étudier vous permettent de faciliter la recherche dans les archives.
Les responsables des archives peuvent vous aider à utiliser les inventaires et les bases de données et peuvent vous donner des informations sur la gestion des archives (acquisition, volume, accès), mais ils ne sont pas des experts en la matière.
La nouvelle base de données Archives.africamuseum.be contient un aperçu de nos collections d'archives. Vous pouvez les rechercher via le moteur de recherche sur noms de personnes et de lieux, les mots-clés et dates.
La détermination précise des documents que vous souhaitez consulter est essentielle pour une visite efficace, et cette tâche est aux chercheurs. Pour chaque demande de consultation, nous avons besoin d'au moins les informations suivantes : référence/identification des documents ou du fonds, nom du créateur, description et année de production.
Nous travaillons quotidiennement à l'entrée de nouveaux inventaires dans Archives.Africamuseum. Si vous avez des questions sur les fonds non inventoriés, n'hésitez pas à communiquer avec historical.archives@africamuseum.be.
Les collections d'archives se trouvent dans différents bâtiments et départements. Localisez où se trouve la collection que vous voulez consulter. Pour chaque fiche d’un document ou d’un fonds, vous trouverez une référence au service d'archives avec les coordonnées correspondantes.
Contactez le service d'archives concerné par e-mail ou par téléphone au moins 2 jours ouvrables à l'avance. Pour chaque demande de consultation, nous avons besoin d'au moins les informations suivantes : référence/identification des documents ou du fonds, nom du créateur, description et année de production.
Nous confirmons le rendez-vous sous réserve de nos disponibilités. Nous n’acceptons pas de visiteurs sans rendez-vous confirmé.
Veuillez noter que pour les documents de deux services d'archives différents, vous aurez besoin de deux rendez-vous distincts.
Est-ce qu’il y a des limites pour la consultation des archives?
Certaines archives ne sont pas accessibles pour le public pour des raisons juridiques (p.e. Loi relative à la protection de la vie privée), contractuelles ou pratiques (conservation du document, inventorisation, …). Pour être certain que le fonds soit accessible, prenez contact avec le service d'archives concerné à l’avance.
Une demande de consultation ne peut pas dépasser la limite de 10 items par jour / 5 items par demi-jour. Dans ce cas, nous vous demandons de faire une liste par priorités ou de planifier la consultation sur plusieurs jours.
Qu’est-ce que on peut emporter dans la salle de lecture?
Tous les objets qui peuvent endommager les archives sont interdits, tels que ciseaux, coupe-papier, colle, correcteur, marqueur, agrafeuse, perforatrice, taille-crayon, etc.
Nous vous demandons aussi de laisser à l’accueil de la salle de lecture les effets personnels suivants : manteau, parapluie, serviette, housse d’ordinateur, appareils audio, nourriture et boisson.
Vous pouvez emporter des crayons, un bloc-notes, un livre, un laptop, un appareil photo, GSM/Smartphone ou tablette. La salle de lecture est pourvue de prises de courant et d’un wifi public.
Est-ce qu’on peut faire des reproductions?
Sous certaines conditions, et avec l’accord du responsable de la salle de lecture, il est permis au lecteur d’effectuer des photographies des archives, si la reproduction ne sert qu’à un usage privé. Le responsable de la salle de lecture vous donnera un formulaire à remplir. Pour les reproductions destinées à être publiées, veuillez consulter les conditions générales de notre service de reproduction.
Comment manipuler les archives?
Les documents doivent être manipulés avec soin. Seul le crayon est autorisé et le port de gants blancs est obligatoire. Ceux-ci sont disponibles auprès du responsable de la salle de lecture.
Il n’est possible de consulter qu’une liasse ou un ensemble cohérent de documents à la fois. Le responsable de la salle de lecture se charge de fournir les suivants au fur et à mesure.
Quoi qu’il en soit, les archives ne peuvent jamais sortir de la salle de lecture.
Est-ce qu’il y a des archives numérisées?
Nous avons commencé à numériser une part importante de nos archives, mais les résultats ne sont pas encore visibles pour le public. Pour mieux protéger nos archives et faciliter le service, nous espérons bientôt pouvoir proposer des fonds d’archives digitalisés dans notre salle de lecture. En même temps, nous recherchons les possibilités juridiques et techniques pour montrer des parties de nos fonds en ligne.
Est-ce que le personnel du service d’archives effectue des recherches pour tiers?
Le temps et le manque de personnel nous font défaut pour pouvoir mener des recherches pour d’autres personnes. Notre objectif principal est de valoriser les archives en développant des outils de recherche et en les mettant à la disposition du grand public.
Pour vos questions sur le contenu de votre recherche, vous pouvez vous adresser à notre équipe d’historiens qui ont leur propre expertise. Ils peuvent vous donner des conseils ou des idées mais c’est au visiteur qu’il appartient d’élaborer une stratégie de recherche et de préparer sa visite aux archives.
Comment faut-il voir la relation entre les archives et les autres collections du musée?
Souvent les archives entrées au musée étaient accompagnées par des photos, des objets ou des animaux, mais pour des raisons de conservation et par rapport à leur contenu, les collections ont été réparties entre les divers sections et départements. Notre but est de reconstruire et visualiser de nouveau les liens entre les archives, les photos et les objets. La liste suivante vous donne un aperçu des autres collections et leur accès :
- Objets ethnographiques, ethnomusicologiques et historiques et Collections photographiques
- Collections archéologiques (archives, diathèque, objets)
- Collections biologiques (bois, vertébrés, invertébrés)
- Collections des Sciences de la terre (minéraux, roches, fossiles, cartes et photos aériennes)
- Bibliothèques
Est-ce que je peux trouver des informations sur un membre de ma famille parti au Congo?
Nos archives ne se prêtent pas bien à la recherche généalogique. Nous n'avons pas de listes avec les noms de tous les Belges qui ont vécu ou travaillé au Congo, ni d'archives d'institutions publiques telles que le Registre des naissances, des décès et des mariages ou le Ministère des Colonies. Si le nom du membre de votre famille ne figure pas dans nos inventaires et guides, nous ne pouvons pas vous aider.
Nous vous conseillons de consulter d'autres sites qui contiennent des informations biographiques :
- Les collections biographiques de l’Académie royale des Sciences d’Outre-Mer/Koninklijke Academie voor Overzeese Wetenschappen (KAOWARSOM): Un moteur de recherche vous donne accès aux articles biographiques des 5 tomes de la Biographie coloniale belge et les 4 tomes de la Biographie belge d’Outre-Mer
- La base de données ODIS se concentre sur l’étude des structures ? intermédiaires des 19ème et 20ème siècles. Elle contient entre autres des fiches de personnes belges ayant eu une carrière coloniale, surtout des religieux et des hommes politiques.
- Le moteur de recherche pour les recherches généalogiques des Archives du Royaume
- Les dossiers du personnel militaire du Musée royal de l’Armée et d’Histoire militaire contiennent aussi les dossiers des militaires belge partis pour la colonie.
- Les dossiers individuels du personnel d’Afrique de l’ancien Ministère des colonies, produits respectivement par le ministère des Colonies à Bruxelles, l’administration coloniale au Congo belge et l’Assistance technique peu après l’indépendance en République du Congo, et conservés par les Archives générales du Royaume et le SPF Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement : ces dossiers individuels concernent donc exclusivement les agents temporaires et fonctionnaires de l’Administration d’Afrique ainsi que les officiers et sous-officiers de la Force publique et bien sûr leurs familles.
Où puis-je trouver la Charte de l'Impérialisme ?
Depuis quelques temps, une "Charte de l’impérialisme", appelée aussi "Charte de la servitude" circule sur certains réseaux sociaux. Pour certains auteurs et internautes, l’AfricaMuseum conserverait ce document "confidentiel" qui aurait été élaboré à Washington pendant la traite négrière, ensuite discrètement négocié à la conférence de Berlin en 1885, puis renégocié après la Première et la Seconde Guerre mondiale par les puissances "occidentales". Toujours selon eux, cette charte prouverait que celles-ci ont délibérément "programmé l’exploitation des pays pauvres et le massacre de leurs habitants" et que leurs dirigeants ne seront ainsi "jamais poursuivis pour tous les crimes qu’ils commettent dans le monde".
Dans bien des cas, la critique historique est très utile pour établir l’authenticité, la validité et la pertinence d’un document, quel qu’il soit. A l’analyse du cas présent, il ressort que ce document pose de nombreuses questions. Pourquoi ?
Il est tout d’abord anonyme (on ne connait ni son/ses auteur(s), ni sa provenance précise) et n’est pas original (seules des retranscriptions de la "charte" sont diffusées). En principe, une charte, qui est un document officiel, doit également avoir un ou plusieurs signataires : ceux-ci ne sont pas mentionnés. De surcroît, puisque le document aurait été "renégocié" à plusieurs reprises lors d’événements historiques importants et dans des lieux différents, des variantes du document original devraient subsister dans les archives des pays ou des institutions concernés. Tel n’est pas le cas et aucun historien professionnel n’a jamais fait mention de ce document. Il est aussi surprenant qu’un document supposé avoir été écrit durant la traite des esclaves, n’émerge seulement qu’au 21e siècle….
Le contenu de cette "charte" est aussi problématique. Sa lecture révèle de nombreuses invraisemblances, des anachronismes, des tournures de phrases qui ne sont pas d’usage dans le langage protocolaire et diplomatique. Quelques exemples : le terme "tiers-monde", cité maintes fois dans le texte, a été créé en 1952 par le démographe et économiste français Albert Sauvy ; le concept "génocide" fut utilisé pour la première fois par l’avocat polonais Raphael Lemkin en 1943 ; les termes "aide économique au développement", armes "de destruction massive" ou "leaders" n’étaient pas en usage avant la 2ème moitié du 20e siècle. En outre, la vision généraliste, pour ne pas dire simpliste, prônée dans ce document semble surtout maladroitement alimenté par une hostilité radicale et vindicative face à "l’Occident". Ses objectifs restent nébuleux.
Ce document, grossièrement exploité par certains pour semer le trouble chez des personnes peu ou mal informées, est donc un faux, une fake news, qui s’inscrit dans la littérature complotiste et conspirationniste et s’inspire d’autres faux documents comme le "Protocole des sages de Sion", un illustre faux antisémite et tsariste du début du 20e siècle. Il y a quelques années, un autre faux intitulé "Discours du Roi Léopold II à l’arrivée des premiers missionnaires au Congo et en 1883" et qui circulait sur Internet avait déjà été déjoué.
Il est par conséquent fantaisiste de croire que l’AfricaMuseum détient un tel document. Aucun inventaire ne fait mention d'un tel document. Les archives historiques conservées au Musée sont accessibles en ligne ou sur simple demande.
Où est-ce que je peux encore trouver des "archives coloniales"?
Sans être exhaustif, les institutions suivantes ont des archives relatives à l’histoire coloniale et la décolonisation dans leurs collections :
- Archives du Royaume
- Kadoc
- Musée royal de l’Armée et d’Histoire militaire
- Université libre de Bruxelles
- Liberaal archief
- AMSAB
Est-il possible de devenir volontaire dans le service des archives?
Si l’histoire coloniale et les archives vous intéressent, et si vous souhaitez nous aider, vous pouvez envoyer votre candidature à historical.archives@africamuseum.be en mentionnant votre nom, votre adresse, votre numéro de téléphone ainsi que votre expérience archivistique.
Encore d’autres questions ?
Prenez contact par mail (historical.archives@africamuseum.be ou par téléphone (+32 2 769 56 85)
Wat is Archives.Africamuseum.be?
Archives.Africamuseum.be is een archiefdatabank die online toegang verleent tot archiefcollecties van het Koninklijk Museum voor Midden-Afrika
Archives.Africamuseum.be wordt beheerd door de dienst Collectie- en Archiefbeheer binnen de afdeling Culturele Antropologie en Geschiedenis. Deze dienst is verantwoordelijk voor de verwerving, de conservatie, de valorisatie en de digitalisering van historische en institutionele archieven, etnografische, etnomusicologische en historische objecten en foto's.
Welke archieven vind ik terug in Archives.Africamuseum.be?
Sinds zijn oprichting in 1898 bewaart het museum archieven van personen, bedrijven en instellingen die verbonden zijn met de Congo-Vrijstaat, Belgisch Congo, de Democratische Republiek Congo en Centraal-Afrika in het algemeen. De activiteiten van het museum als wetenschappelijke instelling hebben ook geleid tot een belangrijke en gevarieerde archiefproductie.
Archives.Africamuseum.be groepeert de volgende archiefdiensten (services d’archives) :
- Archieven van particulieren - Koloniale geschiedenis
- Archieven van particulieren - Dekolonisatie en onafhankelijk Congo
- Historisch archief van het Koninklijk Museum voor Midden-Afrika
- Archieven van bedrijven en instellingen
- Henri Morton Stanley -archief
Volgende archieven van het KMMA zijn niet in Archives.Africamuseum.be opgenomen :
- Archeologische archieven
- De archieven van geologische studies en mijnbouwprospectie in Centraal-Afrika
- Archiefcollecties beheerd door de afdelingen en diensten zelf in verband met hun dagelijkse werking en onderzoeksprojecten
Welke stappen moet ik ondernemen om de archieven te raadplegen?
Iedereen kan de archieven raadplegen. De enige verplichting is het maken van een afspraak.
Om uw aanvraag tot consultatie zo vlot mogelijk te kunnen behandelen, kan u best volgende voorbereiding in acht nemen.
- Bepaal het onderwerp en lees je in
- Maak vooraf een selectie
- Localiseer het archieffonds
- Maak een afspraak
Voorkennis over het onderwerp dat je wenst te bestuderen stelt je in staat om het archiefonderzoek vlotter te doen verlopen.
De archiefbeheerders/medewerkers kunnen u helpen bij het gebruik van de inventarissen en databanken en kunnen u informatie geven over het archiefbeheer (acquisitie, volume, toegang), maar ze zijn geen inhoudelijke experten.
De nieuwe database Archives.Africamuseum omvat een overzicht van onze archiefcollecties. U kunt deze via zoekmachine doorzoeken op persoons-en plaatsnamen, trefwoorden en data.
De nauwkeurige bepaling van welke documenten u wil raadplegen, is primordiaal voor een efficiënt bezoek, en is de taak van de onderzoeker. Voor elke consultatieaanvraag hebben we minstens de volgende gegevens nodig: referentie/identificatie van de stukken of fonds, naam van de archiefvormer, beschrijving en productiejaar.
We werken dagelijks aan de invoer van nieuwe inventarissen in Archives.Africamuseum. Als u vragen heeft over niet-geïnventariseerde fondsen, neem dan gerust contact op met historical.archives@africamuseum.be.
De archiefcollecties bevinden zich in verschillende gebouwen en afdelingen. Zoek op waar de collectie die u wilt raadplegen, zich bevindt. U vindt voor ieder archiefstuk of fondsbeschrijving een verwijzing naar de beherende archiefdienst (service d’archives) met de bijhorende contactgegevens.
Contacteer de desbetreffende archiefdienst per e-mail of telefonisch ten minste 2 werkdagen op voorhand. Voor elke consultatieaanvraag hebben we minstens de volgende gegevens nodig: referentie/identificatie van de stukken of fonds, naam van de archiefvormer, beschrijving en productiejaar.
Wij bevestigen de afspraak afhankelijk van onze beschikbaarheid. Wij ontvangen geen bezoekers zonder bevestigde afspraak.
Let op, voor de documenten die zich in twee verschillende archiefdiensten bevinden, heeft u twee aparte afspraken nodig.
Zijn er beperkingen aan de raadpleging van de archieven?
Sommige archieven zijn niet toegankelijk voor het publiek om juridische (bv. Privacywet), contractuele of praktische redenen (bewaring van documenten, inventaris, enz.). Om te weten of het fonds toegankelijk is, neemt u vooraf contact op met de desbetreffende archiefdienst.
Een aanvraag tot consultatie kan de limiet van 10 verschillende items per dag / 5 items per halve dag niet overschrijden. Indien u meer wil consulteren, vragen wij u om een prioriteitenlijst op te stellen of de consultatie over meerdere dagen te spreiden.
Wat mag ik (niet) meenemen in de leeszaal?
Alle voorwerpen die het archief kunnen beschadigen zijn verboden, zoals een schaar, briefopener, lijm, corrector, stift, nietmachine, pons, potloodslijper, enz.
Ook vragen wij u de volgende persoonlijke spullen achter te laten bij de receptie van de leeszaal: jas, paraplu, handdoek, computertas, audioapparatuur, eten en drinken.
U kunt potloden, een notitieboekje, een boek, een laptop, een camera, een GSM/Smartphone of tablet meenemen. De leeszaal is uitgerust met stopcontacten en openbare wifi.
Mag ik zelf reproducties maken?
Onder bepaalde voorwaarden en met toestemming van de verantwoordelijke van de leeszaal is het de lezer toegestaan om foto's te nemen van de archieven, indien de reproductie enkel voor privé-gebruik dient. Vraag aan de leeszaalverantwoordelijke een invulformulier waarin u de voorwaarden onderschrijft.
Voor reproducties bestemd voor publicatie, verwijzen wij u door naar de algemene voorwaarden en tarieven van onze reproductiedienst.
Hoe om te gaan met archieven?
Documenten moeten met zorg worden behandeld. Alleen potlood en laptop zijn toegestaan voor het maken van notities en het dragen van handschoenen is verplicht. Deze zijn verkrijgbaar bij de leeszaalverantwoordelijke.
Er kan slechts één map of een samenhangende bundel documenten tegelijk worden bekeken. De leeszaalverantwoordelijke kijkt hierop toe.
De archieven kunnen in geen geval de studiezaal verlaten.
Zijn er archieven digitaal beschikbaar?
De digitalisering van een aanzienlijk deel van onze archieven is lopende, maar de resultaten zijn nog niet zichtbaar voor het publiek. Om onze archieven beter te beschermen en de dienstverlening te vergemakkelijken, hopen we binnenkort gedigitaliseerde archiefcollecties te kunnen aanbieden in onze studiezaal. Tegelijkertijd onderzoeken we de juridische en technische mogelijkheden om delen van onze collecties online te tonen.
Verricht het archiefpersoneel onderzoek voor derden?
Wegens gebrek aan tijd en personeel kunnen wij geen onderzoek doen voor derden. Ons hoofddoel is de archieven te valoriseren door zoekinstrumenten te ontwikkelen en beschikbaar te stellen het grote publiek.
Voor inhoudelijke vragen over uw onderwerp kunt u contact opnemen met ons team van historici met diverse expertises. Zij kunnen u advies verlenen, maar het is in de eerste plaats aan de bezoeker om zijn/haar onderzoeksstrategie te ontwikkelen en hun bezoek aan de archieven voor te bereiden.
Hoe verhouden de archieven zich tot de andere collecties in het museum?
Vaak waren/zijn de archieven die het museum binnenkwamen/binnenkomen vergezeld van foto's, objecten of opgezette dieren, maar om redenen van conservatie en onderzoek werden de collecties verdeeld over de verschillende afdelingen en diensten.
Overzicht van de andere collecties en een link naar hun toegang :
- Etnografische, etnomusicologische en historische voorwerpen en fotocollecties
- Archeologische collecties (archieven, diatheek, objecten)
- Biologische collecties (hout, gewervelden ongewervelden)
- Collecties van Aardwetenschappen (mineralen, gesteenten, fossielen, kaarten en luchtfoto's)
- Bibliotheken
Kan ik informatie vinden over een familielid die dat naar Congo is gegaan?
Onze archieven lenen zich niet goed voor genealogisch onderzoek. We hebben geen lijsten met de namen van alle Belgen die in Congo hebben gewoond of gewerkt, noch archieven van openbare instellingen zoals de Burgerlijke Stand of het Ministerie van Koloniën. Als de naam van uw familielid niet voorkomt in onze inventarissen en gidsen, kunnen wij u niet verder helpen.
Wij raden u aan om andere sites te consulteren die wel biografische informatie bevatten:
- De biografische collecties van de Koninklijke Academie voor Overzeese Wetenschappen/Koninklijke Academie voor Overzeese Wetenschappen (KAOWARSOM): Een zoekmachine geeft u toegang tot de biografische artikelen van de 5 delen van de Belgische Koloniale Biografie, de 4 delen van de Belgische Overzeese Biografie en het Biografisch woordenboek van de Belgen overzee.
- De ODIS-databank richt zich op de studie van tussenliggende structuren van de 19e en 20e eeuw. Het bevat onder meer dossiers over Belgen met een koloniale carrière, in het bijzonder religieuzen en politici.
- De zoekmachine voor genealogisch onderzoek in het Algemeen Rijksarchief.
- De dossiers van de militairen van het Koninklijk Museum van het Leger en de Militaire Krijgsgeschiedenis bevatten ook de dossiers van de Belgische soldaten die naar de kolonie vertrokken.
- De individuele dossiers van de Afrikaanse personeelsleden van het voormalige Ministerie van Koloniën, respectievelijk opgesteld door het Ministerie van Koloniën in Brussel, de koloniale administratie in Belgisch-Congo en de Technische Bijstand kort na de onafhankelijkheid in de Republiek Congo, en bijgehouden door het Algemeen Rijksarchief en de FOD Buitenlandse Zaken, Buitenlandse Handel en Ontwikkelingssamenwerking: deze individuele dossiers hebben dus uitsluitend betrekking op tijdelijke functionarissen en ambtenaren van de Afrikaanse administratie, alsook op ambtenaren en onderofficieren van de Overheidsdienst en natuurlijk hun gezinnen.
Waar vind ik het Charte de l’Impérialisme?
Op bepaalde sociale netwerken circuleert al een hele tijd een "Charte de l’impérialisme", ook "Handvest van slavernij" genoemd. Volgens sommige auteurs en internetgebruikers zou het AfricaMuseum beschikken over dat "vertrouwelijke" document, dat naar verluidt tijdens de slavernij in Washington werd opgesteld, vervolgens het onderwerp van onderhandelingen was tijdens de conferentie van Berlijn in 1885, en na de Eerste en de Tweede Wereldoorlog nogmaals door de "westerse" mogendheden besproken werd. Bovendien zou het handvest volgens hen bewijzen dat die laatsten opzettelijk "hebben besloten tot de uitbuiting van de arme landen en de afslachting van hun inwoners" en dat hun leiders zo "nooit vervolgd zullen worden voor alle misdaden die ze overal ter wereld plegen".
In veel gevallen is historische kritiek bijzonder nuttig om vast te stellen of documenten, van welke aard ook, authentiek, rechtsgeldig en relevant zijn. In dit geval blijkt dat het document heel wat vragen doet rijzen. Waarom?
In de eerste plaats is het anoniem (noch de auteurs, noch de precieze herkomst ervan zijn bekend) en niet origineel (enkel de afschriften van het "handvest" werden verspreid). In principe moet een handvest als officieel document door een of meerdere personen ondertekend worden, dat is niet het geval. Aangezien er verschillende keren tijdens belangrijke historische gebeurtenissen en op verschillende plaatsen over het document "onderhandeld" werd, zouden er van de originele versie varianten moeten bestaan in de archieven van de betrokken landen of instellingen. Dat is niet het geval en geen enkele beroepshistoricus heeft ooit melding gemaakt van het document. Het is bovendien verrassend dat een zogezegd tijdens de slavenhandel geschreven document pas in de 21e eeuw opduikt ...
Daarnaast is de inhoud van het "handvest" problematisch. Het bevat immers tal van onwaarschijnlijkheden, anachronismen en zinsconstructies die niet in protocollaire, diplomatieke taal gebruikt worden. Enkele voorbeelden: het begrip "derde wereld", dat vaak in de tekst voorkomt, werd pas in 1952 door de Franse demograaf en economist Albert Sauvy in het leven geroepen; het concept "genocide" werd pas in 1943 voor het eerst gebruikt door de Poolse advocaat Raphael Lemkin; en de termen "economische ontwikkelingshulp", "massavernietigingswapens" of "leaders" werden niet vóór de 2e helft van de 20e eeuw gebruikt. Bovendien lijkt de veralgemenende of zelfs simplistische visie in het document vooral onoordeelkundig te worden aangevuurd door een radicale, wraakzuchtige vijandigheid ten aanzien van "het Westen". Het doel ervan blijft onduidelijk.
Het document, dat door sommigen schromelijk misbruikt wordt om onrust te zaaien bij weinig of slecht geïnformeerde personen, is dus nep, of fake news. Het past in de hoek van de complotliteratuur en is gebaseerd op andere fictieve documenten zoals de Protocollen van de wijzen van Sion, een berucht valselijk antisemitisch, tsaristisch document van begin 20e eeuw. Enkele jaren geleden werd nog een ander nepdocument verspreid op het internet, met als titel Discours du Roi Léopold II à l'arrivée des premières missionnaires au Congo en 1883.
Het is dan ook compleet ongeloofwaardig te denken dat het AfricaMuseum over een dergelijk document zou beschikken. Geen enkele inventaris maakt melding van een dergelijk document. De in het museum bewaarde historische archieven kunnen online of op eenvoudige aanvraag geraadpleegd worden.
Waar vind ik nog "koloniale archieven"?
Zonder exhaustief te zijn, hebben de volgende instellingen archieven met betrekking tot koloniale geschiedenis en dekolonisatie in hun collecties:
- Rijksarchief
- Kadoc
- Koninklijk Museum van het Leger en Militaire Krijgsgeschiedenis
- Vrije Universiteit Brussel
- Liberaal archief
- AMSAB
Is het mogelijk om vrijwilliger te worden op de afdeling archieven?
Als u geïnteresseerd bent in koloniale geschiedenis en archieven, en onze archiefwerking wilt ondersteunen, kunt u uw aanvraag sturen naar historical.archives@africamuseum.be met uw naam, adres, telefoonnummer en archiefervaring.
Nog vragen?
Neem contact met ons op via e-mail (historical.archives@africamuseum.be) of per telefoon (+32 2 769 56 85).